Accès

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Baie-Saint-Paul se situe à quelque 100 km de la ville de Québec, la capitale provinciale. Elle fait partie de la région touristique de Charlevoix, mais aussi de la région administrative de la Capitale-Nationale. La route 138 (réseau national) traverse la municipalité de Baie-Saint-Paul. En plus de ce réseau national, la route 362 (« La route du Fleuve ») joint Baie-Saint-Paul à La Malbaie. La route 381, qui traverse le parc des Laurentides pour donner accès à la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, est située à la limite Est de la municipalité. Baie-Saint-Paul est la ville de centralité de la MRC de Charlevoix, un pôle de service et du développement régional.

Son territoire

La ville de Baie-Saint-Paul se trouve dans la région de Charlevoix qui se situe à une centaine de kilomètres de la ville de Québec. Charlevoix s'étend le long de la rive nord du fleuve Saint-Laurent sur un territoire de 6 000 km2. La région se caractérise par la qualité exceptionnelle de son environnement et a reçu, en 1988, le statut de Réserve de la biosphère de Charlevoix, attribué par l'UNESCO. C'est l'une des plus anciennes régions touristiques du Canada.

Charlevoix est incluse dans la région administrative de la Capitale-Nationale; elle se divise en deux municipalités régionales de comté (MRC): Charlevoix et Charlevoix-Est. Baie-Saint-Paul fait partie de la MRC de Charlevoix qui regroupe six municipalités. Près de 13 200 personnes habitent le territoire de la MRC de Charlevoix qui se compose principalement de forêt (84 %) et de terres agricoles (9 %). La MRC de Charlevoix figure parmi les 50 MRC à caractère rural du Québec. La ville de Baie-Saint-Paul représente près de 55 % de la population de la MRC de Charlevoix. C'est le centre de service et du développement dans la MRC de Charlevoix.

L'économie de Baie-Saint-Paul a longtemps été basée sur l'agriculture et l'industrie forestière qui se sont difficilement intégrées à une économie de marché comme dans les autres régions éloignées du Québec. L'exploitation de ces ressources naturelles lui a permis d'entrer doucement dans la modernité. Toutefois, ces ressources naturelles étaient insuffisantes pour lui assurer un décollage industriel vigoureux comme cela a été le cas pour des régions comme l'Abitibi, la Côte-Nord, le Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la Mauricie. Aujourd'hui, son économie repose encore sur l'agriculture et la forêt ainsi que, depuis une trentaine d'années, sur le tourisme.

Pour plus d’information, consultez le www.mamrot.gouv.qc.ca/repertoire-des-municipalites/fiche/municipalite/16013/

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